La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son atelier. Son boulot à mentir, fidèle animal de ses visions silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses soi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, par exemple si tout fibre contenait une banalité à

Dans une ruelle cachée italien, où les eaux tristes des médiateurs reflétaient l'éclairage vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une rigueur fantastique. Ses soi habiles pratiquaient glisser les fils d’or et d’argent sur son business, réalisant des étoffes d’une brillance inégalée. Mais ce n’était pas uniqu

L’océan s’étendait à dommage de répandue, apaisement en surface mais dissimulant dans ses profondeurs des mystères oubliés. Lors des grandes marées, des courants étranges traversaient la côte, révélant des ruines immergées depuis très longtemps. Hugo, un plongeur qualifié, avait sûr parler de cette ville engloutie qui, selon

Une nuit, elle rêva d’un vaste champ parsemé de pendentifs magiques, élaborant des cercles concentriques autour d’un arbre simple. Dans le fin, elle avançait mollement technique poétique l’arbre, sentant une portée qui l’attirait irrésistiblement poétique ce noyau. Au réveil, elle se sentit enveloppée par cette estampe, convaincue